Le Pr Antoine Flahault, directeur général de la Santé à la Fédération mondiale de gérontologie (WFG), est formel : pour faire face au vieillissement de la population et à la crise de la dépendance, il faut agir sans plus attendre pour « donner du sens au temps ». À cette fin, un plan d’action, élaboré avec une centaine d’experts, s’est concentré sur trois grands enjeux : l’accessibilité, le bien-vivre et la solidarité entre les générations. L’ensemble de ces mesures doit être décliné en trois plans successifs – « Un chez soi dans les années qui viennent », « En finir avec la dépendance », « Mieux vieillir » – dont la première phase est déjà disponible. Pour le moment, deux « chantiers » ont déjà été réalisés : le plan « Un chez soi dans les années qui viennent », qui s’articule autour des 30 engagements prioritaires du rapport « Bien-vieillir », et le plan « En finir avec la dépendance », dont la première étape s’est achevée en mars dernier. Cette nouvelle étape comprend 20 mesures dont l’objectif est de « donner du sens au temps ». Le texte adopté en 2012 par le gouvernement s’appuie sur les résultats du rapport « Bien-vieillir » publié par le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) en mars 2011 et qui a servi de référence à la préparation du plan « Un chez soi dans les années qui viennent » et du plan « En finir avec la dépendance » (2017-2022). Il s’agit d’engager la France dans une transition démographique en 5 ans en s’attaquant aux trois défis : l’accessibilité, le bien-vivre et la solidarité.
Pour le professeur Flahault, le principal problème réside dans la « confusion » entre « le vieillissement de la population et le besoin croissant de services » et « la question des coûts de la dépendance ». La première est « un défi démographique » qui « nécessite des solutions rapides et efficaces » car il ne concerne « que la tranche d’âge des 60-69 ans », a-t-il insisté. La dépendance « représente un défi de santé publique », rappelle-t-il. Selon la dernière étude du groupe d’experts qui a servi de base pour l’élaboration du plan « Un chez soi dans les années qui viennent », « le vieillissement de la population et le coût de la dépendance sont deux questions qui vont s’alimenter l’une l’autre » et « la première question va faire le plus grand nombre de victimes ». « La dépendance a un coût, on ne peut pas la supprimer », a-t-il estimé. « Il faut donc se battre pour la qualité de vie à tout âge, pour réduire les risques de dépendance et de fragilité ». C’est pour cela qu’il faut agir « sans plus attendre » et « donner du sens au temps ».
La stratégie « Un chez soi dans les années qui viennent » s’est construite autour de trois grands thèmes : le logement, la mobilité et l’autonomie. Il s’agit de faire évoluer l’offre de logement, de favoriser la mobilité, de développer la prévention et la santé pour favoriser l’autonomie des personnes et de mettre en place un « continuum de soins ».
« La France vieillit », a expliqué le Pr Flahault lors de la présentation du plan « Un chez soi dans les années qui viennent ». « Il faut agir sur trois leviers : le logement, la mobilité et l’autonomie. Nous devons faire en sorte que les personnes âgées vivent bien chez elles », a-t-il dit. Il s’agit de faciliter la vie des seniors, en leur offrant des conditions de logement plus confortables, des solutions de mobilité ou des services de maintien à domicile. La stratégie « Un chez soi dans les années qui viennent » repose sur 3 grands axes : le logement, la mobilité et l’autonomie.
« Nous devons donner du sens au temps, en termes de qualité de vie à tout âge, en termes d’accessibilité et de liberté dans les choix », a insisté le directeur général de la Santé, pour qui le « vieillissement de la population va être de plus en plus brutal et de plus en plus massif ». Il s’agit donc d’« adapter notre logement », « de favoriser la mobilité », « de lutter contre la solitude et la dépendance », « d’accroître le bien-être et la qualité de vie » des seniors, de leur donner « la liberté de choisir leur lieu de vie ». Les personnes âgées doivent pouvoir choisir leurs lieux de vie. Pour le Pr Flahault, « il y a deux conditions : pouvoir vivre chez soi et dans des conditions de sécurité optimales et pouvoir choisir son lieu de vie ». « L’habitat, c’est un projet de vie » qui doit « correspondre aux besoins », « aux envies », « à l’âge », « aux habitudes ».
Le logement, « c’est la première condition », a souligné le Pr Flahault. « La question de la dépendance est au cœur des préoccupations de la population. Il faut donc se battre pour la qualité de vie à tout âge, pour réduire les risques de dépendance et de fragilité. Mais nous devons aussi être attentifs à ce que les personnes âgées n’aient pas à renoncer à vivre chez elles, au moment où elles le souhaitent », a-t-il insisté.
Le Pr Flahault a souligné que « la mobilité est devenue un enjeu majeur pour la société », en raison du vieillissement de la population. « Nous devons donner du sens au temps », en termes de mobilité et d’autonomie. Il s’agit de « favoriser la mobilité des personnes âgées », en leur offrant des solutions de mobilité, « notamment dans le cadre de services de transport », « de les encourager à bouger » en les incitant à « prendre les transports en commun, à faire des déplacements en train », etc. « La mobilité doit permettre de gagner du temps, de diminuer les coûts, de réduire les risques de dépendance, d’accroître l’autonomie et de faciliter la vie », a insisté le Pr Flahault.
Le plan « Un chez soi dans les années qui viennent » propose de « favoriser l’autonomie » et « de renforcer la liberté de choix de vie ». Le plan est bâti autour de 3 grands thèmes : la mobilité, la santé et l’autonomie. Il s’agit de favoriser l’autonomie et « d’accroître la liberté de choix de vie » des personnes âgées, en leur offrant « des solutions adaptées », « des solutions adaptées aux besoins », « des solutions adaptées à la situation », « des solutions adaptées à l’âge », « des solutions adaptées aux habitudes », « des solutions adaptées aux conditions de sécurité », « des solutions adaptées aux besoins », « des solutions adaptées au lieu de vie ».
« Il s’agit de donner du sens au temps », a souligné le Pr Flahault, qui a insisté sur le fait que « la mobilité doit pouvoir être adaptée à toutes les situations et à tous les âges ». Elle « peut aussi prendre la forme d’un service de transport adapté », qui « peut être assuré par des personnels compétents » et « peut être financé par la sécurité sociale » et « par les collectivités territoriales ». « Elle doit permettre de gagner du temps et de faire des économies » et « ne doit pas se substituer à un autre mode de transport », a-t-il souligné.
Le plan « Un chez soi dans les années qui viennent » prévoit des mesures sur la mobilité, l’autonomie, la santé, le logement. Il s’agit de « favoriser la mobilité des personnes âgées », en leur offrant « des solutions adaptées », « des solutions adaptées aux besoins », « des solutions adaptées à la situation », « des solutions adaptées à l’âge », « des solutions adaptées à la situation », « des solutions adaptées au lieu de vie ».
« Il s’agit de donner du sens au temps », a insisté le Pr Flahault, qui a souligné que « la mobilité doit pouvoir être adaptée à toutes les situations et à tous les âges ». « Elle doit permettre de gagner du temps et de faire des économies » et « ne doit pas se substituer à un autre mode de transport », a-t-il insisté.
« Il faut faire du domicile la première étape de l’accompagnement des personnes âgées », a souligné le Pr Flahault. « Le domicile doit permettre de mieux vivre », « de préserver la santé et l’autonomie » de la personne âgée et de « répondre à ses besoins », « de garantir sa sécurité et son bien-être », « de lui permettre de conserver ses repères et ses habitudes » et « de réduire les inégalités d’accès aux soins ». « Nous devons promouvoir le maintien à domicile et la prévention de la dépendance », a-t-il dit.
« Le domicile doit permettre de mieux vivre », « de préserver la santé et l’autonomie » de la personne âgée et de « répondre à ses besoins », « de garantir sa sécurité et son bien-être », « de lui permettre de conserver ses repères et ses habitudes », « de réduire les inégalités d’accès aux soins », « de garantir sa sécurité et son bien-être ». « Nous devons promouvoir le maintien à domicile et la prévention de la dépendance », a-t-il insisté.
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Il s’agit d’un médicament pour le traitement des troubles de l’érection. Cette pilule est un médicament oral à base de tadalafil qui appartient au groupe de médicaments appelés inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5. La substance active est contenue dans le Cialis générique et dans le Levitra générique. Les deux médicaments ont une composition et une forme similaires et sont utilisés à des fins thérapeutiques.
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